Du Punk à la Soul en passant par le Gospel, il n’y a qu’un pas.
Cecile A, de son vrai nom Cecile Andrault, l’a franchi sans complexe.
A 13 ans, elle casse des micros sur scène avec les groupes punk de Lorient.
A 15 ans, elle claque les portes du conservatoire et de son cours de chant lyrique.
A 20 ans, par une soirée d’été, elle entend pour la première fois Lullaby of Birdland, célèbre standard de Jazz, dans la demeure familiale de Philippe Delacroix Herpin, alors saxophoniste de JJ Goldman.
C’est la voix de son épouse, Monika Limba, chanteuse réunionnaise, qui résonne dans la bâtisse.
Elle l’accompagnera en tant que choriste, assurant les 1ère parties de DanyelWaro tout en continuant ses études de littérature anglaise.
C’est après la mort de sa grand-mère, croyante, qu’elle crée en 2017 le chœur Gospel Sounds of Freedom dont elle est à ce jour cheffe de chœur.
Elle participe également sur scène au collectif Oulala Jazz Band.
Dernières notes d’un concert, Quiberon, mars 2020 : une petite fille s’avance vers la chanteuse du groupe de jazz et lui dit timide qu’elle a une très belle voix et qu’elle devrait chanter ses propres chansons. Black out.
Depuis toute petite c’est son rêve.
Covid. Confinement Enfermement. Grand froid. Elle se réveille en état d’urgence et commence à écrire textes et mélodies. Elle compose ce premier album Hope. Les rêves sont faits pour êtrevécus. Nourrie par ses influences : Tori Amos, Jeff Buckley ou Madonna, elle y explore des thèmes qui lui sont chers : l’espoir, la lumière, les utopies, l’amour et les astres…
entrée libre, réservation obligatoire avec ce QR ou sur le site internet:
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